La fermeture du SE40 dans sa section la plus conflictuelle, le col du Guadalquivir

À Seville, l'effort d'investissement a ralenti pendant presque 30 años, de l'Expo 92, les gros investissements se réduisent à une ligne de métro et à plusieurs tronçons du SE40.

La SE30, né dans la précipitation, a créé des solutions peu fonctionnelles: sections à deux voies dans chaque direction, entrées et sorties à gauche, tresses courtes, etc. Il est donc essentiel de terminer les travaux du SE40 qui attend d'exécuter, entre autres, le tronçon du passage du Guadalquivir, travail qui a été récompensé dans le 2009. 11 des années plus tard, il est paralysé et avec des budgets qui ont été considérablement augmentés.

"Dans la presse, il apparaît que la prévision des coûts du SE40 dans cette section est d'environ un milliard d'euros ou plus", Ángel Luis Ochoa nous raconte, Ingénieur civil, Canaux et ports, né à Madrid et plus de 40 années de vie en Andalousie. Sa carrière professionnelle comprend des travaux ferroviaires, usines de traitement des eaux, autoroutes et emblématique Puente del Alamillo. Derrière ça, était directeur technique chez FCC Andalucía, et maintenant qu'il est à la retraite, il fait le tour des choses qui se passent dans la ville de Séville.

Angel Luis Ochoa, Ingénieur civil, Canaux et ports de Puente del Alamillo

Comme le passage du Guadalquivir attribué à une solution à travers quatre tunnels, reste stagnant; Une solution est proposée au moyen d'un nouveau pont à haubans similaire au pont du Centenaire, mais "il existe d'autres solutions; en général, il est toujours plus rapide et moins cher de faire un pont sur le site le plus court et avec une pente aussi proche du sol que possible, Cette situation se produit en modifiant le plan de l'itinéraire prévu dans la solution attribuée et en traversant le quai au point le plus étroit, qui est évidemment à proximité de la nouvelle écluse et le faire au niveau du sol. Il est clair qu'un pont mobile n'aurait pas les fonctionnalités nécessaires, mais si nous équipons l'infrastructure de deux ponts mobiles, un à chaque extrémité de la serrure, chacun avec six voies et un système de changement de voie, la fonctionnalité est garantie en permanence, les ponts se déplaceraient au même rythme que les portes d'écluse et le trafic serait toujours continu ", propose Ángel Luis Ochoa.

Pour contribuer à l'analyse, les trois solutions sont comparées sous différents aspects aux budgets prévisionnels qui paraissent approximativement dans la presse..

1. Solution 4 tunnels:

• Besoins: Un nouveau traitement environnemental est nécessaire, la version actuelle est expirée et a été conçue uniquement pour 2 tunnels.
• Évaluation: C'est une solution valable et faisable, bien que compliqué en raison des motifs existants, mais en aucun cas on ne peut dire que ce n'est pas faisable.
• Coûts et entretien: Le coût de construction est très élevé, on dit qu'il s'agit de 1.000 millions d'euros. Concernant la maintenance: ce serait très cher.
• Les délais: Rentes financières, en raison de son coût élevé et de la construction des quatre tunnels et de leurs interconnexions, prolonger la durée de plus d’une décennie.

2. Solution de pont à haubans:

• Besoins: Un traitement environnemental et des expropriations sont nécessaires.
• Évaluation: Affecte la base de l'échanson en la rendant inutile. La pente pour pouvoir passer au-dessus des bateaux génère des problèmes similaires à ceux de l'actuel Pont du Centenaire.
• Frais: On dit que le coût estimé est 300 millions d'euros.
• Les délais: Interférence avec la base militaire d'El Copero, cela impliquerait le transfert de la même chose et la construction avec un budget élevé, impliquerait un terme d'environ 10 años.

Solution de plan joint 1. Quatre tunnels et solution 2. Pont suspendu

3. Solution au moyen de deux ponts mobiles adjacents à l'écluse:

Commence à la fin de la section actuelle à côté de l'autoroute Coria, il passe au-dessus de cette autoroute et à travers un viaduc il traverse la zone inondable du Guadalquivir et avec un pont avec un dégagement suffisant pour le passage des bateaux de sport du port de Gelves, traverser la rivière Guadalquivir, il se déplie en deux chaussées en fonction du trafic portuaire et du mouvement des portes, traverser alternativement le quai au moyen de ponts mobiles de 40 metros (largeur de la serrure), plus tard, les routes se rejoignent et se connectent avec la section déjà ouverte à la hauteur du polygone La Isla.

• Besoins: Un traitement environnemental et des expropriations sont nécessaires.
• Évaluation: La disposition du plan augmente la longueur sur la solution de tunnel d'environ 600 metros, mais la pente est proche du terrain actuel.
• Frais: Coût estimé 110 millions d'euros.
• Les délais: Solution technique plus simple. La date limite du processus environnemental est estimée, projet et expropriations de 18 mois et autant de construction, étant la durée totale de trois ans.

Solution de plan attaché au moyen de deux ponts mobiles adjacents à l'écluse

«Le coût de cette solution devrait permettre d’effectuer d’autres investissements rentables, sans que Séville ait l'impression qu'elle finit par être blessée et rabaissée ", nous raconte l'ingénieur Ángel Luis Ochoa.

En résumé: «De cette analyse, il est conclu que les trois solutions sont réalisables, mais le coût exorbitant de la solution à travers les tunnels à la fois pour la construction et la maintenance la rend irréalisable.; plus économique que la précédente est la solution au moyen d'un pont à haubans, mais cette solution a contre les problèmes physiques (affecte la base militaire de Copero), ce qui rendra la solution plus chère et prolongera sa durée; Face à ces solutions, une proposition est présentée qui peut être exécutée dans un délai plus court et nettement plus économique., ce qui permettrait de rejoindre les sections du SE40 déjà en service, donner de la continuité à une infrastructure sous-utilisée ", L'interviewé nous dit et conclut que "la seule solution possible pour effectuer la traversée du Guadalquivir dans la zone navigable avant au moins une décennie est la solution au moyen de deux ponts mobiles de six voies chacun aux extrémités de l'écluse". Parce que parfois le plus simple, rapide et bon marché, Est la meilleure solution.

Historiquement, la diminution du trafic maritime sur le fleuve Guadalquivir a affecté Séville, "Quand il a eu des problèmes ou a été surmonté technologiquement, Séville est entrée en déclin ", ajoute Ángel Luis Ochoa. Maintenant, Séville a une nouvelle écluse qui permet le passage de navires de tonnage plus élevé, mais dans la rivière il y a des zones où il est nécessaire d'étendre le dragage. L'étude d'impact environnemental (JOURNÉE) a été négatif et avec une forte opposition environnementale, car la salinité de la rivière serait affectée, c'est-à-dire, la prise saline se rapprocherait de plus en plus de la ville. "Il existe des moyens de rendre les deux situations compatibles: que la rivière peut être parcourue par un navire de plus grand tonnage et que la situation du bouchon salin est maîtrisée. À l'ère actuelle, on ne peut pas dire qu'il n'y a rien qui ne puisse être résolu, et aussi dans ce cas ce ne serait pas si cher: il existe des solutions pour rendre compatible la navigation des plus gros navires sans altérer l’équilibre et l’état environnemental du fleuve Guadalquivir ", conclut l'ingénieur.

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